[RP] Les aventuriers de la cité perdue - Un nouvel espoir

[LLyr]

Dernier message de la page précédente :

Entendant les précisions de la soldatesque, et ayant la bride de son cheval à la main comme ses acolytes venant de débarquer, le Père Gabriel s'empressa de monter en selle.

« Lieutenant, on peut peut être sauver cette personne si nous nous dépêchons.
Ma sœur vous en dites quoi ? »

[Hallacar]

Vasiliev se retourna vers le semi-homme qu'il laissait en plan
« votre maitre est à l'intérieur du fort »

[elendil]

Gilmar, qui s'était retiré à l'écart pour étudier le message d'Arcavius Aigrefin, était perplexe.

S'est pas foulé en explications, le vieux, ça m'aide pas beaucoup...

Quand soudain il fut tiré de ses pensées par le son du clairon.

Le jeune (enfin, pour un mage, c'était un âge jeune, 41 ans), sortit dehors pour voir de quoi il s'agissait. L'homme avait une corpulence très moyenne, faisait 1.75m de haut pour 72 kg. Ce n'était certainement pas quelqu'un fait pour le combat au corps-à-corps, mais il marchait avec la souplesse d'un léopard, avec un rien de port altier, mais sans arrogance, plutôt un air rieur sur le visage, le regard vif et perçant. Il portait une tunique bleue, des braies marrons, des bottes, et un manteau bleu également, brodé de motifs gris et argentés. Le bâton qu'il avait à la main, qu'on devinait magique, rajoutait au personnage.

« Que se passe-t-il donc ? »demanda Gilmar à un soldat une fois dehors. Il remarqua aussitôt au loin trois personnages qu'il ne connaissait pas, un humain noir de peau, qui semblait être un prêtre, flanqué d'un githzeraï et d'une demi-orc.

[yash64]

Dainak acquiesce brièvement à destination du père Gabriel, et se met prestement en selle avant de lancer sa monture au galop. Sachant désormais de quelle nature est la menace, le jeune barde entame en chevauchant un chant guerrier afin d’encourager ses compagnons à l’approche de l’affrontement.

« ... Trois compagnons chevauchent, bride abattue, fers cinglants,
Trois fidèles montures, galopent et ruent, fières dans le vent,
Cinq loups périront, vite abattus, fers sanglants,
Un hère déjà en vue, bien secouru, bon dénouement... »

[Troumad]

Vitavix laisse ses vaches faire marche arrière vers les gardes et va vite au devant des loups. Il espère pouvoir les enchevêtrer avec son sort.
« Je veux au moins un loup vivant pour lui parler ! » crie-t-il dès qu'il voit du monde.

[Rackhir]

Dès qu'il est équipé, Thor rejoint ses compagnons à l'extérieur.

[Gaspard De La Nuit]

Aloysius était un gobelin : petit, râblé, la gueule garnie de crocs pointus, des membres anormalement longs pour son corps, des formes peu harmonieuses, en contraste avec la tenue claire qu'il portait. Sa spiritualité s'affichait sur lui par l'intermédiaire de gri-gris pendus autour de son cou. Son regard vif et intelligent rougeoyait parfois d'une altérité bestiale, comme à présent, alors qu'il contemplait le repas sur la table en écoutant distraitement les autres.
Le son du cor le fit immédiatement soupirer de déception. Mais il sortit quand même avec les autres. Une fois dehors, il poussa un sifflement strident pour appeler Bon-Augure, son colossal corbeau

[Elinor]

Nathan accéléra le pas vers la petite tour de garde d'où venait le signal.
En parfait demi-elfe, il se fondait merveilleusement bien dans la foule. Dans la moyenne des individus "normaux" avec son mètre 70 et ses 68kg, sa silhouette un peu fine n'impressionnait pas au premier regard. Il portait ses cheveux bruns, mi-longs, le plus souvent détachés, mais il lui arrivait également de les nouer dans les situations ardues afin de ne pas être gêné. Il portait, hors occasions spéciales, de hautes bottes de facture elfique par dessus des braies de tissu brun, ainsi qu'une chemise assortie sous un plastron de cuir. Sur ses épaules, par quasiment tous temps, se trouvait une cape de voyage, avec quelques signes d'usure, maintenue sur son torse par une broche de bonne facture. Quelques initiés à l'oeil fin auraient d'ailleurs pu y décerner d'anciennes armoiries elfiques, dont la valeur était bien plus sentimentales que pécuniaire.
Ses plus fidèles amis, à ce jour, étaient à ses cotés en toutes circonstances. On entendait par là son arc et son épée longue, offerts par ses parents lors de son départ du domicile familial. Et bien qu'il eu depuis toujours un léger penchant pour le tir à l'arc, Nathan chérissait également sa lame, qui le réconfortait de sa présence dans les salles intérieures et les espaces confinés.

Le demi-elfe essaya de se faire une petite place parmi les gardes de l'angle nord-est, afin de pouvoir observer la scène en dehors du fortin de ses propres yeux.

[Bogdania]

[HRP : Je suis de retour]

« Oui allons-y ! Partez devant je n'ai pas de cheval. » Dit sœur Bartok dégainant son épée et se précipitant en courant malgré son armure vers les loups.

[LLyr]

Tendant la main afin de la faire monter en croupe
« Grimpez ma soeur, on y va »

et il entreprit de piquer des deux par la suite

[Toko]

Dès qu'il entendit retentir le clairon, Roderick se précipita vers le râtelier où il avait déposer ses armes, le temps du repas.

Description de Roderick :

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Âgé de 31 ans, grand, large d’épaule et doté d’une musculature sèche, Roderick est un homme d’apparence banale, à la peau pâle, aux longs cheveux noirs, portant bouc et fines moustaches. Ni beau, ni laid, son visage mince est encadré d’abondantes boucles noires et éclairé par des yeux noisette au regard vif et pénétrant. Sa bouche aux lèvres fines est aussi prompte à afficher un sourire jovial qu’une moue boudeuse. Roderick prête un soin particulier à sa chevelure, toujours soigneusement coiffée, et à ses moustaches méticuleusement taillée et huilées.
habillement : Vêtements de qualité usés (pourpoint de velours à crevés de soie, chausse de cuir doux, cuissardes et gants de cuir, manteau de laine doublé de velours et bordé de fourrure, chapeau à plume).

Après avoir prestement sanglé les fourreau à sa ceinture, le bretteur sorti en courant, se dirigea vers le coin du fortin d'où avait résonné l'appel et grimpa l'escalier jusqu'au chemin de ronde. Il repéra immédiatement la silhouette poursuivie par les loups.
Il remarqua également les passagers débarqué du navire, parmi lesquels il remarqua son fidèle Bertimus.
Il redescendit en trombe et se précipita vers les écurie et interpela l'un des palefrenier pour pour l'aider à seller Tornado, son destrier.