Dans les murmures étouffés

[Popstyle]

Dernier message de la page précédente :

[HRP : Oui, vous devriez pouvoir le défoncer avec un grand coup de masse.

Si on résume un peu la situation, Hilaire et Elsyla retournent au camp, Orophir fouille la vieille avec Hrani, Kéradec et Calion s'occupent du piège. Il manque Gundar. C'est bon pour vous ?]

[Osh-Kosh Bigosh]

Oki doki pour mézigue...

[Flint]

Gundar observa partir les deux agacés et entra dans la cabane.
Il restait à une distance méfiante de Calion comme du piège qui s’appretait à être détruit. Il savait que Tymora l’avait conduit ici mais ne connaissait pas la suite.
Il était prêt à agir.

[Troumad]

« Si vous pouviez donner un coup de masse ici, ce serait bien. Je ne suis pas un expert en arme, et surtout pas en arme lourde.
Attention : ne pas se mettre dans la direction que prendrait l'aiguille : mettez-vous de ce côté. »
Calion montre le côté où devrait partir l'aiguille au début de sa phrase et à la fin, il fait u geste pour montrer un coin protégé.
« Si vous aviez un boulier ou quelque chose comme ça, une table par exemple, on ne prend jamais trop de précaution ! »

[ple]

« Attendez avec mon bâton on devrait pourvoir le faire d'un peu plus loin et de derrière la table » Et Keradec d'aider Calion à renverser la table, à se mettre derrière et à titiller l'épingle avec le bâton afin qu'elle se déclenche.

[Hallacar]

Orophir une fois la fouille terminée rentre au campement

[Popstyle]

[HRP : Pour Orophir, Hilaire et Elsyla]

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La fouille de la vieille femme encore endormie n'avait pas permis à Orophir de trouver quoi que ce soit. La pauvre vieille, perdue dans sa pauvreté et sa crasse ne portait rien sur elle, si ce n'est sa toge verdâtre et dégueulasse. L'odeur qui en réchappait - mêlée de pisse, de sueur, d'odeurs féminines sans hygiène et de merde - restera longtemps dans les narines d'Orophir. Après quelques instants de marche, vous revenez au camp, juste à temps pour faire fuir une petite meute de loup qui commençait à s'intéresser de très près au cochon apeuré. Les quatre loups s'enfuirent derrière les troncs de l'orée de la forêt, mais nul doute qu'ils allaient rôder et attendre le bon moment pour revenir à la charge. Le feu réclamait son lot de bois et commençait à s'éteindre doucement.

[HRP : Pour Kéradec, Calion, Hrani, Eléanore et Gundar]

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A l’initiative de Kéradec, le piège sera bien déclenché, mais derrière une table renversée et avec son bâton, il fallait être prudent. Calion avait envisagé, à juste titre, la présence de poison sur la petite fléchette. Celle-ci s'envola si vite, à peine visible, de son logement, quand l’extrémité du bâton toucha le mécanisme. On la retrouva planté dans un sac de pomme de terre, posé à même le sol. Un liquide âpre et verdâtre s'écoula alors sur la toile de jute grossièrement cousue, formant une petite tâche à l'endroit de l'impact. La voie était libre désormais et le gros verrou ne résisterait pas à la force des aventuriers présents dans la pièce, désormais au-dessus de la trappe.

[ple]

« Je t'en prie Calion je te laisse regarder ce que tu cherchais. » ironise Keradec et en laissant Calion regarder le contenu derrière la trappe.
Il se cacha bien de lui montrer qu'il le surveillait malgré tout de près et scrutait tout ses faits et gestes.
On va bien voir si il nous cache quelque chose...

[Mafalda74]

Elsyla ranime le feu avec les morceaux de bois restant.
« il nous faudrait plus de bois » dit elle a ses deux compagnons.
« je vais rapprocher le cochon du feu, normalement les loup on peur des flammes. »
peut-être pourrais je en apprivoiser un.

[Troumad]

« Il y aurait de quoi les envoyer en prison ces trois-là.
Et j'ai pensé qu'une telle action pourrait redonner un peu de couleurs à ma vie bien terne depuis quelques années. »
Calion regarde à l'intérieur du trou ce qu'il peut bien y avoir.

[HRP : Vu le précédent RP, je considère que la trappe est ouverte. Alors que le message du MD disait juste qu'on peut l'ouvrir facilement...
Si elle est fermée, Calion essaie de l'ouvrir en douceur.]

[Popstyle]

La trappe ouverte, l'odeur fut encore plus violente. Cela sentait le renfermé, la pourriture humide et l'humus. Une échelle de corde, de très mauvaise facture descendait dans un trou profond de trois mètres. En bas, le sol était fait de terre et de feuilles mortes et semblait descendre doucement dans l'obscurité. Mais, une leueur parvenait tout de même à percer le noir un peu plus loin.