AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
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- Dracoliche
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- Version de D&D préférée : AD&D1
- Univers de D&D préféré : Greyhawk
- Race : Humain
- Classe : Paladin
- Alignement : Loyal Bon
- Dieu :
- Mini Feuille de perso : Dans l'obscurité des catacombes, l'éclat d'une épée brandie avec courage peut illuminer la voie vers la victoire et la gloire.
AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
Introduction
Advanced Dungeons & Dragons 1ère édition (AD&D1) est un jeu de rôle mythique qui a conquis des générations de joueurs depuis sa création en 1977 par Gary Gygax et Dave Arneson. Malgré l'évolution des éditions et des systèmes de jeu, AD&D1 continue d'être apprécié et joué par de nombreux passionnés. Dans cet article, je vais développer les raisons pour lesquelles, même aujourd'hui, j'aime cette version et ses particularités qui la rendent unique.
I. La brutalité de l'univers
L'une des principales raisons pour lesquelles j'aime AD&D1 est la brutalité de son univers. En effet, contrairement aux éditions ultérieures, cette version du jeu n'hésite pas à plonger les personnages dans un monde impitoyable où la mort est souvent définitive. Cette caractéristique rend l'expérience de jeu plus intense et réaliste, car les joueurs sont conscients que leurs actions peuvent avoir des conséquences irréversibles.
Dans AD&D1, les combats sont souvent violents et meurtriers, et les personnages peuvent rapidement succomber aux blessures infligées par leurs ennemis. Par exemple, un personnage de niveau 1 avec seulement quelques points de vie peut facilement être tué par un coup critique d'un adversaire. Cette brutalité des combats incite les joueurs à réfléchir avant de se lancer tête baissée dans un affrontement.
II. L'ingérence des dieux
AD&D1 met l'accent sur la présence des dieux et leur influence sur le monde. Les divinités peuvent intervenir directement dans la vie des personnages, que ce soit pour les aider ou les punir. Cette ingérence des dieux rend le jeu plus imprévisible et passionnant, car les joueurs ne savent jamais vraiment à quoi s'attendre.
Par exemple, un prêtre peut invoquer la faveur de son dieu pour obtenir des pouvoirs spéciaux, mais il doit également se conformer aux préceptes de sa divinité sous peine de subir sa colère. Les dieux peuvent également intervenir pour protéger un personnage ou, au contraire, provoquer sa chute. Cette interaction avec les dieux ajoute une dimension mystique et intrigante au jeu.
III. La mort définitive et la rareté des résurrections
Dans AD&D1, la mort est souvent définitive et les résurrections sont rares et coûteuses. Cette réalité renforce l'aspect brutal de l'univers et incite les joueurs à agir avec prudence. En effet, contrairement aux éditions ultérieures où la résurrection est plus facilement accessible, dans AD&D1, perdre un personnage peut signifier la fin de son histoire.
La rareté des résurrections ajoute également un enjeu émotionnel fort lorsqu'un personnage meurt. Les autres membres du groupe doivent alors prendre la décision difficile de tenter ou non de le ramener à la vie, sachant que cette entreprise peut être coûteuse et incertaine.
IV. La progression lente des personnages
La progression des personnages dans AD&D1 est très lente, ce qui renforce le sentiment d'accomplissement lorsque les personnages gagnent en expérience et montent de niveau. Cette lenteur permet aux joueurs de savourer chaque étape de l'évolution de leur personnage et de ressentir un véritable sentiment d'attachement à leur création.
De plus, la progression lente des personnages incite les joueurs à réfléchir à leurs actions et à établir des stratégies pour survivre dans un monde impitoyable. Les victoires sont d'autant plus gratifiantes lorsque les personnages parviennent à surmonter les défis malgré leur faible niveau et leurs ressources limitées.
V. L'univers de Conan et le monde sans pitié
L'univers d'AD&D1 rappelle celui de Conan le Barbare, créé par Robert E. Howard. Dans ces deux mondes, les personnages évoluent dans un environnement brutal et sans pitié, où seuls les plus forts survivent. Cette atmosphère sombre et impitoyable contribue à créer une expérience de jeu immersive et intense, qui séduit encore aujourd'hui de nombreux joueurs.
La comparaison entre l'univers d'AD&D1 et celui de Conan souligne l'importance de la lutte pour la survie et la nécessité pour les personnages de faire preuve de ruse et de force pour s'imposer dans un monde hostile. Ces enjeux rendent l'expérience de jeu d'autant plus captivante et mémorable.
VI. L'aspect chaotique des règles
L'un des charmes d'AD&D1 réside dans l'aspect chaotique de ses règles. Bien que certaines d'entre elles puissent sembler désuètes ou complexes, elles contribuent à créer une ambiance unique et authentique qui fait défaut dans les éditions ultérieures. Ces règles, parfois contradictoires ou imprécises, laissent une grande place à l'interprétation et à l'imagination des joueurs et du maître du jeu.
Cette liberté d'interprétation et d'adaptation permet de créer des parties surprenantes et inattendues, où les joueurs sont constamment amenés à repousser les limites de leur créativité pour trouver des solutions à des situations parfois inextricables.
VII. Les classes de personnages inégales
Dans AD&D1, les classes de personnages ne sont pas équilibrées, et certaines d'entre elles, comme le magicien de niveau 1, sont particulièrement vulnérables face à des adversaires plus puissants, tels que les guerriers ou les paladins. Cette inégalité entre les classes ajoute un niveau de réalisme au jeu, car elle reflète la diversité et les défis auxquels sont confrontés les personnages dans un monde impitoyable.
Les éditions ultérieures ont cherché à équilibrer davantage les classes de personnages, mais cette démarche a également contribué à lisser les différences entre elles et à diluer l'essence même du jeu. AD&D1, en revanche, parvient à conserver le charme et la vitalité du jeu en assumant pleinement ces inégalités.
Pour développer un peu plus :
AD&D1 est une version du jeu de rôle qui a su traverser les décennies sans perdre de son charme et de son authenticité. Les points positifs que j'ai développés dans cet article, tels que la brutalité de l'univers, l'ingérence des dieux, la mort définitive, la progression lente des personnages, l'aspect chaotique des règles et les classes de personnages inégales, sont autant de raisons pour lesquelles j'aime encore aujourd'hui cette version du jeu.
Certes, AD&D1 n'est pas parfait et peut sembler désuet ou complexe pour certains joueurs habitués aux éditions plus récentes. Toutefois, cette version a su conserver une saveur unique et une ambiance incomparable qui continuent de séduire de nombreux passionnés de jeux de rôle.
Je suis conscient que tout le monde ne partagera pas mon opinion, et il est normal que chacun ait ses préférences en matière de jeux de rôle. Néanmoins, je pense qu'il est important de reconnaître et de célébrer les qualités qui font d'AD&D1 une expérience de jeu si singulière et inoubliable.
Alors, si vous êtes curieux de découvrir ou redécouvrir cette version mythique, n'hésitez pas à vous plonger dans l'univers impitoyable d'AD&D1 et à vivre des aventures épiques aux côtés de vos compagnons d'armes. Qui sait, peut-être partagerez-vous mon amour pour cette version du jeu et vous laisserez-vous emporter par la magie de cet univers sans pareil.
Et vous qu'en pensez vous? Le débat est ouvert....
Advanced Dungeons & Dragons 1ère édition (AD&D1) est un jeu de rôle mythique qui a conquis des générations de joueurs depuis sa création en 1977 par Gary Gygax et Dave Arneson. Malgré l'évolution des éditions et des systèmes de jeu, AD&D1 continue d'être apprécié et joué par de nombreux passionnés. Dans cet article, je vais développer les raisons pour lesquelles, même aujourd'hui, j'aime cette version et ses particularités qui la rendent unique.
I. La brutalité de l'univers
L'une des principales raisons pour lesquelles j'aime AD&D1 est la brutalité de son univers. En effet, contrairement aux éditions ultérieures, cette version du jeu n'hésite pas à plonger les personnages dans un monde impitoyable où la mort est souvent définitive. Cette caractéristique rend l'expérience de jeu plus intense et réaliste, car les joueurs sont conscients que leurs actions peuvent avoir des conséquences irréversibles.
Dans AD&D1, les combats sont souvent violents et meurtriers, et les personnages peuvent rapidement succomber aux blessures infligées par leurs ennemis. Par exemple, un personnage de niveau 1 avec seulement quelques points de vie peut facilement être tué par un coup critique d'un adversaire. Cette brutalité des combats incite les joueurs à réfléchir avant de se lancer tête baissée dans un affrontement.
II. L'ingérence des dieux
AD&D1 met l'accent sur la présence des dieux et leur influence sur le monde. Les divinités peuvent intervenir directement dans la vie des personnages, que ce soit pour les aider ou les punir. Cette ingérence des dieux rend le jeu plus imprévisible et passionnant, car les joueurs ne savent jamais vraiment à quoi s'attendre.
Par exemple, un prêtre peut invoquer la faveur de son dieu pour obtenir des pouvoirs spéciaux, mais il doit également se conformer aux préceptes de sa divinité sous peine de subir sa colère. Les dieux peuvent également intervenir pour protéger un personnage ou, au contraire, provoquer sa chute. Cette interaction avec les dieux ajoute une dimension mystique et intrigante au jeu.
III. La mort définitive et la rareté des résurrections
Dans AD&D1, la mort est souvent définitive et les résurrections sont rares et coûteuses. Cette réalité renforce l'aspect brutal de l'univers et incite les joueurs à agir avec prudence. En effet, contrairement aux éditions ultérieures où la résurrection est plus facilement accessible, dans AD&D1, perdre un personnage peut signifier la fin de son histoire.
La rareté des résurrections ajoute également un enjeu émotionnel fort lorsqu'un personnage meurt. Les autres membres du groupe doivent alors prendre la décision difficile de tenter ou non de le ramener à la vie, sachant que cette entreprise peut être coûteuse et incertaine.
IV. La progression lente des personnages
La progression des personnages dans AD&D1 est très lente, ce qui renforce le sentiment d'accomplissement lorsque les personnages gagnent en expérience et montent de niveau. Cette lenteur permet aux joueurs de savourer chaque étape de l'évolution de leur personnage et de ressentir un véritable sentiment d'attachement à leur création.
De plus, la progression lente des personnages incite les joueurs à réfléchir à leurs actions et à établir des stratégies pour survivre dans un monde impitoyable. Les victoires sont d'autant plus gratifiantes lorsque les personnages parviennent à surmonter les défis malgré leur faible niveau et leurs ressources limitées.
V. L'univers de Conan et le monde sans pitié
L'univers d'AD&D1 rappelle celui de Conan le Barbare, créé par Robert E. Howard. Dans ces deux mondes, les personnages évoluent dans un environnement brutal et sans pitié, où seuls les plus forts survivent. Cette atmosphère sombre et impitoyable contribue à créer une expérience de jeu immersive et intense, qui séduit encore aujourd'hui de nombreux joueurs.
La comparaison entre l'univers d'AD&D1 et celui de Conan souligne l'importance de la lutte pour la survie et la nécessité pour les personnages de faire preuve de ruse et de force pour s'imposer dans un monde hostile. Ces enjeux rendent l'expérience de jeu d'autant plus captivante et mémorable.
VI. L'aspect chaotique des règles
L'un des charmes d'AD&D1 réside dans l'aspect chaotique de ses règles. Bien que certaines d'entre elles puissent sembler désuètes ou complexes, elles contribuent à créer une ambiance unique et authentique qui fait défaut dans les éditions ultérieures. Ces règles, parfois contradictoires ou imprécises, laissent une grande place à l'interprétation et à l'imagination des joueurs et du maître du jeu.
Cette liberté d'interprétation et d'adaptation permet de créer des parties surprenantes et inattendues, où les joueurs sont constamment amenés à repousser les limites de leur créativité pour trouver des solutions à des situations parfois inextricables.
VII. Les classes de personnages inégales
Dans AD&D1, les classes de personnages ne sont pas équilibrées, et certaines d'entre elles, comme le magicien de niveau 1, sont particulièrement vulnérables face à des adversaires plus puissants, tels que les guerriers ou les paladins. Cette inégalité entre les classes ajoute un niveau de réalisme au jeu, car elle reflète la diversité et les défis auxquels sont confrontés les personnages dans un monde impitoyable.
Les éditions ultérieures ont cherché à équilibrer davantage les classes de personnages, mais cette démarche a également contribué à lisser les différences entre elles et à diluer l'essence même du jeu. AD&D1, en revanche, parvient à conserver le charme et la vitalité du jeu en assumant pleinement ces inégalités.
Pour développer un peu plus :
AD&D1 est une version du jeu de rôle qui a su traverser les décennies sans perdre de son charme et de son authenticité. Les points positifs que j'ai développés dans cet article, tels que la brutalité de l'univers, l'ingérence des dieux, la mort définitive, la progression lente des personnages, l'aspect chaotique des règles et les classes de personnages inégales, sont autant de raisons pour lesquelles j'aime encore aujourd'hui cette version du jeu.
Certes, AD&D1 n'est pas parfait et peut sembler désuet ou complexe pour certains joueurs habitués aux éditions plus récentes. Toutefois, cette version a su conserver une saveur unique et une ambiance incomparable qui continuent de séduire de nombreux passionnés de jeux de rôle.
Je suis conscient que tout le monde ne partagera pas mon opinion, et il est normal que chacun ait ses préférences en matière de jeux de rôle. Néanmoins, je pense qu'il est important de reconnaître et de célébrer les qualités qui font d'AD&D1 une expérience de jeu si singulière et inoubliable.
Alors, si vous êtes curieux de découvrir ou redécouvrir cette version mythique, n'hésitez pas à vous plonger dans l'univers impitoyable d'AD&D1 et à vivre des aventures épiques aux côtés de vos compagnons d'armes. Qui sait, peut-être partagerez-vous mon amour pour cette version du jeu et vous laisserez-vous emporter par la magie de cet univers sans pareil.
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- Betanaelle
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
Perso je retrouve tout ça sur Darksun avec les règles ADD2, tu veux de la violence, je vais te faire démarrer esclave comme les autres tu m'en diras des nouvelles mon petit chaton.
Sinon oui à l'époque ou je jouais avec ADD1 c'était violent, j'avais fait une map assez proche de celle d'Howard dans mes souvenirs, je ne sais pas ce qu'il en est devenu, je ne l'ai pas retrouvé après tout mes déménagement - Conan étant un personnage que j'appréciais beaucoup à l'époque, BD et bouquins.
Les classes en ADD2 sont tout aussi inégales d'ailleurs, le petit level ne permet pas les erreurs ou les malchances (heureusement la règle de la frontière de la mort peut donner un sursit)
Les différences ne sont pas si énorme que ça, du coup le changement est passé tranquille.
Par contre au niveau des Dieux en effet, une sacré différence, c'est le seul truc vraiment notable je trouve
Sinon oui à l'époque ou je jouais avec ADD1 c'était violent, j'avais fait une map assez proche de celle d'Howard dans mes souvenirs, je ne sais pas ce qu'il en est devenu, je ne l'ai pas retrouvé après tout mes déménagement - Conan étant un personnage que j'appréciais beaucoup à l'époque, BD et bouquins.
Les classes en ADD2 sont tout aussi inégales d'ailleurs, le petit level ne permet pas les erreurs ou les malchances (heureusement la règle de la frontière de la mort peut donner un sursit)
Les différences ne sont pas si énorme que ça, du coup le changement est passé tranquille.
Par contre au niveau des Dieux en effet, une sacré différence, c'est le seul truc vraiment notable je trouve
"Les cons ça osent tout. C'est même à ça qu'on les reconnait."Michel Audiard (Les tontons flingueurs)
"Dialoguer avec un con c'est comme essayer de faire jouir une poupée gonflable. " Michel Audiard
COMPTE RENDU DE CAMPAGNE DARKSUN
RECRUTEMENT partie ADD2 débute septembre 2024- Le donjon sous la montagne Dencarié
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
Je comprends tout à fait ton point de vue sur Dark Sun et les règles d'AD&D2. C'est vrai qu'il y a beaucoup de similitudes entre les deux versions et que Dark Sun offre également un univers brutal et impitoyable.Betanaelle a écrit : ↑Jeu 30 Mars 2023 15:13Perso je retrouve tout ça sur Darksun avec les règles ADD2, tu veux de la violence, je vais te faire démarrer esclave comme les autres tu m'en diras des nouvelles mon petit chaton.
Sinon oui à l'époque ou je jouais avec ADD1 c'était violent, j'avais fait une map assez proche de celle d'Howard dans mes souvenirs, je ne sais pas ce qu'il en est devenu, je ne l'ai pas retrouvé après tout mes déménagement - Conan étant un personnage que j'appréciais beaucoup à l'époque, BD et bouquins.
Les classes en ADD2 sont tout aussi inégales d'ailleurs, le petit level ne permet pas les erreurs ou les malchances (heureusement la règle de la frontière de la mort peut donner un sursit)
Les différences ne sont pas si énorme que ça, du coup le changement est passé tranquille.
Par contre au niveau des Dieux en effet, une sacré différence, c'est le seul truc vraiment notable je trouve
Pour ma part, même si j'apprécie également les règles d'AD&D2 et l'univers de Dark Sun, je garde une affection particulière pour la première édition. Peut-être est-ce la nostalgie qui parle, ou simplement le fait que j'ai découvert le jeu de rôle avec AD&D1.
- Betanaelle
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
Moi mes premières parties ont été faites sur DD, j'étais un gentil Nain qui comprenait pas trop ce que faisait un manticore dans la pièce, mais c'était marrant, je jouais avec des potes du lycée en Terminale. Puis est sorti ADD (et oui pas de 1 pour le premier du genre)
Quand j'ai voulu rejouer un an après, là par contre je suis passé direct sur ADD et je suis passé directement du coté obscur en étant MD
Pas trop aimé l'arcana, bien kiffé le Fiend Folio et adoré oriental adventures, ça aussi c'était violent.
Quand j'ai voulu rejouer un an après, là par contre je suis passé direct sur ADD et je suis passé directement du coté obscur en étant MD
Pas trop aimé l'arcana, bien kiffé le Fiend Folio et adoré oriental adventures, ça aussi c'était violent.
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
Ton message m'a bien fait sourire, je me suis imaginé ce gentil nain, un peu perdu et intrigué, se demandant ce que diable une manticore faisait là, dans la pièce ! Les parties avec les potes du lycée, c'est vraiment ça qui fait la magie du jeu de rôle, n'est-ce pas ? Des moments uniques où on se retrouve à rire, à se creuser la tête et à vivre des aventures épiques !Betanaelle a écrit : ↑Jeu 30 Mars 2023 17:48Moi mes premières parties ont été faites sur DD, j'étais un gentil Nain qui comprenait pas trop ce que faisait un manticore dans la pièce, mais c'était marrant, je jouais avec des potes du lycée en Terminale. Puis est sorti ADD (et oui pas de 1 pour le premier du genre)
Quand j'ai voulu rejouer un an après, là par contre je suis passé direct sur ADD et je suis passé directement du coté obscur en étant MD
Pas trop aimé l'arcana, bien kiffé le Fiend Folio et adoré oriental adventures, ça aussi c'était violent.
Ah, AD&D, sans le "1" pour le premier du genre ! Passer directement du côté obscur en tant que MD, sacrée expérience ! Je suis sûr que tu as eu l'occasion de faire vivre des péripéties inoubliables à tes joueurs. C'est vrai que certains suppléments comme le Fiend Folio ou Oriental Adventures ont marqué les esprits avec leur côté violent, mais c'est aussi ce qui fait leur charme, non ?
Bref, ton message m'a rappelé à quel point ces premières parties sont importantes et combien elles nous marquent pour la vie. On en garde de précieux souvenirs et un amour inébranlable pour le jeu ! Allez, lève ta chopine imaginaire à la santé des bons vieux temps !
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
Pour moi les deux meilleures édition de d&d sont 1e et le B/X de Moldvay/Cook. B/X est certainement l'édition la plus brutale de toute. Il est simple mais néanmoins complet. C'est le chouchou de l'OSR avec ses nombreux rétro-clones. Mais c'est vrai que 1e ou son retro clone OSRIC ont un charme évident. Le coté complet (sorts, monstres et objets magiques) et les règles de combats avec les segments sont vraiments efficaces si on les comprends . Le DMG est une lecture chaotique mais toujours ultra intéressante pour un MJ. Longue vie à 1e même si aujourd'hui je joue plus à PMT2 avancé (1e sur le châssis de b/X) . Le meilleur des deux monde!
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
Je suis assez raccord avec cette déclaration d'amour, mais je ne suis pas aussi exclusif, j'aime D&D autant que AD&D finalement, et j'ai surtout une énorme tendresse pour l'univers de Mystara
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
Belle déclaration d'amour à AD&D Palladieu !
Je n'ai jamais joué à AD&D1, étant passé de BX à AD&D2 au détour d'un cadeau de récompense pour mon Bac. Au début j'ai trouvé AD&D trop bien, mais ce que je n'aime pas finalement dans AD&D (surtout le 2) c'est le côté High Fantasy, la Magie est trop présente, les Dieux aussi. D'où mon retour à BX. Sinon, les Classes de AD&D sont déséquilibrées au départ seulement : si un Magicien survit, il devient trèèèèès puissant. Entre les Magots et les Fighters, ce n'est pas la même logique de jeu, il y a des classes "ready made" et des classes "évolutives".
En revanche ce que tu dis sur l'intransigeance de la réalité du terrain pour les PJ, et la souplesse des règles, c'est quelque chose qui me plaît dans les vieilles éditions de D&D/AD&D.
Tiens ! Tu m'as donné l'envie de relire avec application le manuel de AD&D1, Palladieu ça va me faire ma soirée...
Je n'ai jamais joué à AD&D1, étant passé de BX à AD&D2 au détour d'un cadeau de récompense pour mon Bac. Au début j'ai trouvé AD&D trop bien, mais ce que je n'aime pas finalement dans AD&D (surtout le 2) c'est le côté High Fantasy, la Magie est trop présente, les Dieux aussi. D'où mon retour à BX. Sinon, les Classes de AD&D sont déséquilibrées au départ seulement : si un Magicien survit, il devient trèèèèès puissant. Entre les Magots et les Fighters, ce n'est pas la même logique de jeu, il y a des classes "ready made" et des classes "évolutives".
En revanche ce que tu dis sur l'intransigeance de la réalité du terrain pour les PJ, et la souplesse des règles, c'est quelque chose qui me plaît dans les vieilles éditions de D&D/AD&D.
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Page francophone publique sur D&D B/X : Donjons & Dragons Basic Expert Set
Membre de la S.P.C.A.D. (Société Protectrice de la Classe d'Armure Descendante)
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
pour répondre à cette question, je dirais que
... les trous dans les règles permettaient à un MJ et ses joueurs imaginatifs de vraiment s'éclater,
... le texte même donnait envie de créer "des trucs" (la simple lecture des bestiaires était une source sans fin d'histoire),
Bref je dirais que D&D, AD&D1 et AD&D2 te donnent des clefs pour jouer et faire travailler ton imagination alors que les éditions suivantes te donnent des règles et ce n'est pas la même chose.
je n'ai absolument pas la sensation de cette totale liberté créative lorsque je lis et maitrise en V5...
C'est un peu comme un vieux vaisselier en bois que tu vas utiliser comme vaisselier ou bibliothèque ou étagère à jdr comparé à un produit IKEA dont la fonction est clairement définie et si tu veux en faire autre chose: ben non car il existe un autre produit qui fait le truc voulu.
un de mes joueurs veux monter un cheval féerique en bois et à la crinière de lierre: destrier avec peau d'écorce permanente et zou alors qu'avec les éditions successives et leur volonté absolue d'équilibrage, tu cherches et tu cherches comment faire le truc car le jeu de par sa nature même (règles carrées, équilibrage, stat à outrance, pléthore de matos) te pousse à faire rentrer ton idée dans le moule.
les anciennes éditions c'est le top !
... les trous dans les règles permettaient à un MJ et ses joueurs imaginatifs de vraiment s'éclater,
... le texte même donnait envie de créer "des trucs" (la simple lecture des bestiaires était une source sans fin d'histoire),
Bref je dirais que D&D, AD&D1 et AD&D2 te donnent des clefs pour jouer et faire travailler ton imagination alors que les éditions suivantes te donnent des règles et ce n'est pas la même chose.
je n'ai absolument pas la sensation de cette totale liberté créative lorsque je lis et maitrise en V5...
C'est un peu comme un vieux vaisselier en bois que tu vas utiliser comme vaisselier ou bibliothèque ou étagère à jdr comparé à un produit IKEA dont la fonction est clairement définie et si tu veux en faire autre chose: ben non car il existe un autre produit qui fait le truc voulu.
un de mes joueurs veux monter un cheval féerique en bois et à la crinière de lierre: destrier avec peau d'écorce permanente et zou alors qu'avec les éditions successives et leur volonté absolue d'équilibrage, tu cherches et tu cherches comment faire le truc car le jeu de par sa nature même (règles carrées, équilibrage, stat à outrance, pléthore de matos) te pousse à faire rentrer ton idée dans le moule.
les anciennes éditions c'est le top !
la différence entre un adulte et un enfant, c'est la taille et le budget du jouet
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Re: AD&D1: Pourquoi j'aime toujours cette version après toutes ces années
C'est cette notion de déséquilibre qui fait son charme. Les aventuriers ne sont pas égaux.
Cela commence avec les tirages de caractéristiques. On a beaucoup de chance ou pas. Il en découle le choix de la classe qui une fois encore offre des choix déséquilibré tel puissance à haut niveau mais peu de pv et donc forte chance de mortalité.
La possibilité de s'acoquiner avec des créatures puissante tant en montures que compagnon d'arme.
Et cerise sur le gâteau, ADD2 permet de personnaliser tous les cultes avec les sphères et pouvoirs des prêtres spécialisés. Une fois de plus le déséquilibre sera flagrant. Un prêtre d'un dieu mineur d'un panthéon non humain aura certainement un intérêt à être joué (ce sera en fait un défi pour le joueur) mais sera limité en puissance comparé à un prêtre du leader du panthéon le plus populaire.
C'est pourquoi ces premières éditions versions offrent une part belle au panache comparées à la rigueur des règles et optimisations offertes par les versions suivantes.
Cela commence avec les tirages de caractéristiques. On a beaucoup de chance ou pas. Il en découle le choix de la classe qui une fois encore offre des choix déséquilibré tel puissance à haut niveau mais peu de pv et donc forte chance de mortalité.
La possibilité de s'acoquiner avec des créatures puissante tant en montures que compagnon d'arme.
Et cerise sur le gâteau, ADD2 permet de personnaliser tous les cultes avec les sphères et pouvoirs des prêtres spécialisés. Une fois de plus le déséquilibre sera flagrant. Un prêtre d'un dieu mineur d'un panthéon non humain aura certainement un intérêt à être joué (ce sera en fait un défi pour le joueur) mais sera limité en puissance comparé à un prêtre du leader du panthéon le plus populaire.
C'est pourquoi ces premières éditions versions offrent une part belle au panache comparées à la rigueur des règles et optimisations offertes par les versions suivantes.
Apprenez à penser par vous même, sinon d'autres le feront pour vous.
MD ADD2/2.5
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