Inktober 2022 du DDD

[Orlov]

Dernier message de la page précédente :

27/10 : En cas : vous reprendrez bien un petit peu de sandwich aux larves ?

Les insectes sont nos amis !

Nombreuses sont les cultures et les civilisations dont les membres ne répugnent pas de manger des larves d’insectes. Grillées à point, marinées ou crues, œufs, larves et lymphes constituent des mets appréciés pour leur saveur ou leurs vertus roboratives dans de nombreux endroits du multivers. Gobelours, Trolls, Géants et autres Ogres ne dédaignent pas non plus d’ajouter des œufs d’insectes à leurs menus, en particulier quand ils sont aussi appétissants et nutritifs que ceux des Punaises Tueuses (page 75 de la traduction du DDD du Fiend Folio, page 12 de l’original).
La seule difficulté pour les amateurs est de s’en procurer car les délicieuses larves ne poussent pas dans les arbres. En effet, la Punaise Tueuse, ne pond en effet ses oeufs que dans de la chair vivante, humaine de préférence (les demi-humains peuvent cependant faire l’affaire mais pas les humanoïdes). La ponte a lieu deux jours tous les deux mois lorsque la femelle ovule et le processus associe étroitement les mâles et les femelles (un bel exemple de coopération intersexe et de division du travail reproductif si vous voulez mon avis). Lorsque l’on rencontre des punaises tueuses, elles vont par deux, un mâle et une femelle. La Punaise mâle attaque un humain afin d’instiller dans l’organisme de sa victime un poison paralysant tandis que la femelle reste en retrait jusqu’à ce qu’elle sache que la victime est paralysée. Dès que la victime est paralysée, la femelle s’approche rapidement et implante son oeuf dans la zone touchée par le mâle. Puis, elle quitte immédiatement le combat tandis que le mâle, lui, se bat jusqu’à la mort. L’oeuf ainsi déposé éclot en moins d’une journée à l’intérieur de sa victime, laissant place à sept à douze larves qui se nourrissent de la chair et des tissus internes. Elles creusent ensuite leur voie vers la liberté. Le calvaire de la victime peut cependant être abrégé si ses compagnons ont la présence d’esprit d’utiliser rapidement les rares moyens magiques disponibles pour extraire l’œuf ou tuer les larves. C’est une question de vie ou de mort, car les larves font des dégâts toutes les heures et qu’elles mettent deux semaines à sortir (soit 336 heures).
Bon appétit !

Mini-Inspiration : le troll gastronome.

Les propriétés régénératives du troll sont bien connues. Le Troll, à l’instar d’un certain gorille, ne brille pas par l’esprit mais il brille par le goût et il est capable de concevoir bien des stratagèmes pour se procurer des œufs de Punaise tueuse. Pour satisfaire leur désir, certains Trolls ont compris qu’en éventrant des humains et en se couvrant de leurs entrailles, ils pouvaient attirer des punaises tueuses. Celles-ci piquent alors le troll et pondent en lui. Les capacités régénératives du troll font que celui-ci n’a guère à craindre du développement de l’œuf et même des larves (certains trolls attendent même que l’œuf éclose car ils préfèrent les larves).
On peut ainsi concevoir un petit en-cas dans le cadre d’une promenade en forêt ou dans les montagnes dans lequel les PJ seraient témoins de l’éventration d’une victime par le troll ou bien une rencontre avec un troll qui laisserait passer sans réagir les demi-humains ou humanoïdes du groupe avant de fondre sur un aventurier humain pour lui arracher les tripes.

Inspiration : l’infestation.
Ce scénario est un peu plus long et met en scène des Gobelours dont les actions sont peu respectueuses de la bio-diversité.
Apiculture :
Comme vous le dirait un Gobelour « si tu veux un bon œuf, trouve un bon humain » car l’amateur distingué sait que les meilleurs œufs se trouvent sur les humains. Une bande de Gobelour a donc aménagé une ruche de Punaises Tueuses près d’un village humain. Le shaman de la tribu a inventé une gelée qui rend folle les femelles et font qu’elles ovulent tous les jours et sont constamment en chasse avec les mâles. Les Gobelours, que les Punaises n’attaquent jamais, suivent les couples et emportent dans leur repaire la moitié des victimes pour récupérer l’oeuf. Le shaman les a en effet instruits en ce sens afin de préserver la population de Punaise. L’état de la victime importe peu et elle est morte en arrivant au repaire le plus souvent ou destinée à mourir quand les Gobelours extrairont l’œuf. La tribu étant vraiment amatrice, son shaman a inventé une gelée qui fait que les Punaises femelles ovulent bien plus souvent.
Il est à noter (je vous épargne les calculs précis) qu’en raison de l’accélération du cycle reproductif de la punaise et avec un prélèvement de la moitié des œufs par les Gobelours, on passe en un moins d’un couple de 2 Punaises à plus de 300 à la fin du mois. Un désastre écologique qui a cependant peu de chance de se reproduire car, à ce stade, la population humaine a probablement fui ou a été éradiquée.
Implication des PJ:
Le scénario peut se passer à proximité d’une communauté rurale de votre campagne que traversent simplement les PJ ou qui les a appelés à l’aide afin d’enquêter sur des morts suspectes et des disparitions qui l’affectent. Il est préférable que la communauté soit géographiquement proche des PJ sans quoi il n’y aura plus rien sur quoi enquêter.
Entrées : au moment où les PJ arrivent, ils sont témoins de la levée d’un corps ramené de la forêt par des chasseurs. Le corps a été piqué par des Punaises Tueuses, ce que tout ranger, druide, barbare voire barde serait capable de reconnaître. Si vous êtes d’humeur taquine, vous pouvez faire sortir quelques punaises pour le beauté de la scène (ah le spectacle de la vie de larves déchiquetant leur hôte avant de s’envoler vers la liberté !) ou laisser les PJ prendre les choses en main. Il est préférable de brûler les corps mais en fonction de votre campagne, la crémation n’est peut-être pas acceptée.
Enquête:
L’enquête des PJ devrait les mener dans plusieurs lieux :

• Le village : si vous voulez faire durer un peu le scénario, rendez l’atmosphère un peu plus sombre. Disparitions et morts par piqûre ne découlent pas des agissements impies de telle ou telle personne mal vue par la communauté ? les autorités locales peuvent chercher des bouc-émissaires et à inciter les PJ à enquêter, leur faisant perdre du temps.

• La Ruche : le nid de Punaises Tueuses a été aménagé par les Gobelours dans les racines d’un arbre géant de votre campagne. Suivre les Punaises permet de repérer le lieu. L’attaquer serait de la folie pour un groupe de bas niveau mais s’ils se contentent d’observer discrètement (ou mieux d’envoyer des non-humains faire le boulot). Les PJ peuvent voir le ménage des Punaises mais aussi les Gobelours qui viennent déposer la gelée ovulatoire à l’entrée du nid afin de rendre les femelles fécondes. Ils prendront aussi conscience du nombre d’insectes qui pullulent et du danger qu’ils posent.

• Le repaire des Gobelours : les PJ peuvent être amenés à repérer les Gobelours (soit qu’ils aient détecté des traces dans la forêt en enquêtant sur les disparitions, soit qu’ils les aient suivis depuis la ruche). Ils verront que les Gobelours stockent des cadavres et y récoltent des œufs qui sont consommés frais par le Shaman (lequel a inventé un rituel justifiant sa pure gourmandise) ou conservés au frais en attendant les grands évènements où ils vont être distribués. Des PJ qui explorent l’endroit peuvent également apprendre le secret de la gelée (la macération de cadavres humains) voire trouver des onguents qui les rendent invisibles et indétectables pour les punaises (libre à vous de décider que les Punaises n’attaquent pas les Gobelours en raison de ces onguents)

Conseils:
Ce scénario est dangereux pour les PJ de bas niveau, le niveau 5 étant probablement le meilleur point d’équilibre et ce style d’aventures rurales correspondant bien à ce stade de la carrière des PJ. Il y a cependant un problème. En effet, les moyens de guérir une créature hôte d’une Punaise Tueuse sont d’un niveau inaccessible : souhait mineur ou guérison pour extraire l’œuf, soins des blessures majeures ou critiques pour tuer les larves. D’un autre côté, si vos PJ disposent de ce genre de moyens, ils feront du petit bois du scénario. Je n’irai pas jusqu’à dire que le monstre est mal foutu mais à haut niveau, il ne fonctionne que si les PJ ne savent rien de lui. Cela fonctionne rarement. Vous avez donc deux solutions pour rendre le scénario intéressant pour les PJ :

• A haut niveau, remplacez les Gobelours par une créature plus puissante qui se ferait livrer les œufs par les Gobelours. Un dragon pourrait faire l’affaire. Dans ce cas, limitez la connaissance que les PJ peuvent avoir de la créature.

• A bas niveau, permettez à un personnage proche de la nature de connaître le monstre et appliquez l’une et/ou l'autre des options suivantes : 1. Les œufs peuvent être extraits par une opération ou en utilisant le feu (ne changez rien aux règles gérant les larves, les PJ doivent être malins et extraire les œufs rapidement avant qu’ils ne fassent des dégâts). 2. Un personnage druide peut connaître un onguent qui permet de tenir à distance les Punaises (dans ce cas, faites qu’il soit rare ou difficile à concevoir et ne peut protéger que quelques PJ pour obliger le groupe à faire preuve d’astuce et de discrétion).

Enfin, si vous jouez en mode bac à sable de la vieille école dans lequel le scénario n’a pas a être adapté au niveau de puissance des PJ, permettez aux PJ de fuir et intégrer l’infestation dans votre campagne comme une menace qui reviendra.

[Outsider]

Le coup du troll alimentaire, ma table n'y a jamais pensé. C'est vraiment pratique et en plus il sert de porteur. Bon, tous les PJ ne sont pas forcément prêts à gouter cette recette.

[Théodal]

@orlov, pour hier : Je ne suis pas venu ici pour avoir un cours de psychanalyse, au secours
Ton abnégation pour trouver des explications aux monstres sans queue ni tête (au figuré bien-sûr) du Fiend Folio mérite le respect ^^ Mais je crois juste que les mecs ont juste créé des monstres sans se soucier de ce genre de questions. C'est bien dommage d'ailleurs, mais ça te donne un thème pour l'Inktober
@orlov, pour aujourd'hui : j'adore cette idée de scénar, la petite aventure horreur dans D&D ça donne un petit vent de fraîcheur je trouve ^^
Sinon y'a le jdr Alien si on veut voir des trucs dégueulasses sortir du ventre des gens
Gare au trooooOOOOooooOOOl


@anthe et @outsider : je n'ai jamais pensé au fait qu'on pouvait manger les monstres... J'aurais eu tendance à dire que le troll n'était pas comestible, mais j'imagine en fait que ça a goût de grenouille ou de crapaud.
Et vu les dégâts occasionnés par le cube gélatineux, je ne connais pas grand monde qui aurait l'idée de l'ingérer

[Mangor]

Je me réjouis de prendre le temps de lire tout ce qui passe ici... En attendant, une manière d'invoquuer une fée sans dépenser d'emplacement de sort :

[Outsider]

@Théodal : tout est question de mode et temps de cuisson et surtout d'assaisonnement. La plupart des toxines sont détruites par la chaleur. Rien n'empêche les PJ d'innover en matière culinaire et au MJ de voir ce qu'il peut en tirer en terme de jeu.
Le meilleur exemple qui n'a, à ma connaissance jamais été développé, c'est la fabrication des potions. Dans la description de certains monstre il est précisé certains éléments entrant dans la composition de certaines potions mais pas de compile sur ce sujet.
Je ne désespère pas un jour de me pencher sur cette question. Mais cela implique au préalable une relecture des bestiaires.

[Théodal]

Sceptre de festin

Type : sceptres

Ce sceptre permet d'invoquer un véritable festin, composé des mets les plus raffinés et délicieux. Lorsque le mot de commande est prononcé, toutes les tables et supports similaires se retrouvent recouverts de nourriture dans des plats ouvragés. Le sceptre ne permet pas d'invoquer un festin sur plus de 35m² de tables. On ne considère pas la surface totale de la pièce, seulement celle des tables. Si des objets sont déjà posés dessus, les plats se disposent autour. Le sceptre ne fonctionne pas en extérieur.
La nourriture tout comme les plats disparaissent cependant au bout de trois heures. Si elle a été ingérée entre temps, elle disparaît donc de l'estomac de ceux qui l'ont avalée avant qu'elle ne puisse leur apporter de quelconques nutriments. La faim se fait alors ressentir brutalement, entraînant un jet de choc métabolique qui entraîne une perte de connaissance de 1d4 rounds s'il est échoué.

[Orlov]

@orlov, pour hier : Je ne suis pas venu ici pour avoir un cours de psychanalyse, au secours
Ton abnégation pour trouver des explications aux monstres sans queue ni tête (au figuré bien-sûr) du Fiend Folio mérite le respect ^^ Mais je crois juste que les mecs ont juste créé des monstres sans se soucier de ce genre de questions. C'est bien dommage d'ailleurs, mais ça te donne un thème pour l'Inktober

J'ai un peu eu la poisse entre hier et aujourd'hui. Je pensais que le 25 c'était en-cas donc j'avais préparé ma rencontre avec le troll géant avaleur d'oeufs. Je vois que c'est ego donc j'invente un truc un peu branque en me disant que des gens vont écrire soit sur l'egomanie soit sur l'ego des armes. Comme il n'y a quasiment pas de créatures Psi dans le fiend folio (je parle de créatures qui réellement sont des Psi pas de creatures qui utilisent les pouvoirs pris) et que je voulais faire un truc avec les grouilleux qui sortent de nulle part et ont même pas de vêtements mais portent des épées, je me suis amusé à écrire le texte freudien. Après quand j'ai relu j'ai trouvé ça vraiment trop long et pas terrible à lire. Je vais sûrement le reprendre et réfléchir à un scénario dans le thème, par exemple avec un fou qui voit des grouilleux partout. Et ce matin je vois que tout le monde veut manger du troll, du coup changement de focale et idée de scenar avec les gobelours que je vais sûrement reprendre dans ma campagne.

[Ashnariel de Silth]

Anthe il manque des pommes dans ta recette je trouve

J'ai entendu cela quelque part dans une cuisine

Le client
J'lui trouve un goût de pomme.
le cuisiner
Y'en a.

- Le cuisinier
Eh, eh, eh ! 50 kilos de patates, un sac de sciure de bois, il te sortait 25 kilos de troll aux herbes; un vrai magicien, ce Jo.
Et c'est pour ça que je permet d'intimer l'ordre à certains salisseurs de mémoire qu'ils feraient mieux de fermer leur claque-merde ! Ah !

- Le client Vous avez beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose.
Ce serait pas des fois de la betterave ? Hein ?

- le cuisiner Si, y'en a aussi.

"- Tu sais pas ce qu'il me rappelle ? C't'espèce de drôlerie qu'on buvait dans une petite taule de Biên Hòa, pas tellement loin de Saïgon. "Les volets rouges"... Et la taulière, une blonde comac... Comment qu'elle s'appelait, nom de Dieu ?
- Lulu la Nantaise.
- T'as connu ?
- J'lui trouve un goût de pomme.
- Y'en a.
- Eh ben c'est devant chez elle que Lucien "le cheval" s'est fait dessouder.
- Et par qui ? Hein ?
- Ben v'là que j'ai plus ma tête.
- Par Teddy de Montréal, un fondu qui travaillait qu'à la dynamite.
- Toute une époque... "

[anthe]

J28-Camping

Tout fout le camp.

Le jeune Aragoale allait partir en aventure pour la première fois. Avant d’empaqueter son équipement, il avait demandé à son père quels étaient les secrets de cette vie de baroudeur qui lui tendait les bras.

“Mon petit Aragoale, tu vas partir en aventure pour la première fois demain et je me dois de te mettre en garde sur certains points. Si la motivation première d’un aventurier est évidement la course aux formidables richesses qui sont nichées au fin fond de dédales puants et hantés. Elle ne doit pas être le seul moteur de ta carrière. Il te faudra t’entourer d’amis fidèles pour durer dans le métier.

Tu te rendras vite compte que la camaraderie qui se développe dans les compagnies est primordiale. Nos errances aventureuses étaient toujours jalonnées de petits moments de grâce. Que ce soit en plein air dans des forêts maudites ou aux tréfonds du pays des terribles elfes noirs, le feu camp était la composante essentielle qui renforçait nos liens d’amitié.

Je me revois anxieux et sur le qui vive pour mon premier tour de garde. Chaque cri d’animal, chaque craquement était suspect. Je réveillais sans cesse mes compagnons à la moindre alerte. Plus tard, je nous vois avec le barde, entonner des chants de victoire devant de fabuleux tas d’or et des montagnes d’objets que nous nous partagions gaiement.

Mais voilà, méfie toi, tout fout le camp. Au fil des aventures, cette tradition s’est effilochée. Tout a commencé le jour où le mage a fait bande à part en s’isolant dans son espace extradimensionnel à cause des ronflements du nain. Puis petit à petit nous avons imperceptiblement pris nos distances plus par confort que par animosité. A la fin, chacun se téléportait chez lui après les aventures. Nous avions perdu cette vie de nomade et la joie de vivre insufflés par ces moments partagés.

Alors, mon petit Aragoale n’oublie jamais que le feu de camp est le ciment d’un groupe. Fait ton maximum pour que cette magie dure le plus longtemps possible et tu verras qu’ensemble et soudés par ces instants inoubliables vous pourrez vaincre des géants plus grands que des montagnes et ramener des trésors plus grands encore.”

Aragoale attendit son ami la journée entière en se remémorant ces sages paroles, mais ce dernier ne vint jamais. S’était-il enfui avec la carte au trésor ? Avait-il trouvé d’autres amis pour partager le trésor du dragon ? Sa vie aventureuse débutait sur un rendez-vous manqué. Il rentra chez lui penaud.

(voir textes “Réaction acido-magique”, “Cils collés au matin, chagrin” et “Check avec provisions” de l’Inktober 2021 J11- J12 et J14)

[Outsider]

C'est l'occasion de remettre au gout du jour une vieille règle maison que j'ai déposé sur le forum il y a bien longtemps.

Camping

Le summum pour les bivouacs est le sort cabane de Leomund (niveau 3) qui concurrence corde enchantée (niveau 2). Il ne faut pas oublier la cage d'abri qui est aussi une solution contre les éléments. Mais seule la corde enchantée permet à un petit groupe d'éviter les tours de garde.

Les tours de garde sont l'assurance d'une nuit sans mauvaise surprise. Les magiciens devant dormir au moins huit heures pour espérer mémoriser leurs sort au matin, ils sont rarement concernés et ce sont les autres qui sont de corvée. Mais avec les journées bien remplie des aventurier avec la fatigue des trajets, il ne faut pas s'endormir. Dans le meilleur des cas, être deux permet de se surveiller et éviter ce désagrément lors de la faction généralement de deux heures. Le garde a aussi comme mission d'alimenter le feu, dissuasif pour les prédateurs nocturnes du monde animal.

Dans le cas où la garde est assurée par un seul personnage, il doit réussir un jet sous sa constitution pour ne pas s'endormir durant sa faction. Si le jet est raté, sa relève peut inconsciemment se réveiller si elle réussi un jet sous sa sagesse.

Mais il faut être réaliste, en zone civilisée, il y a quand même peu de chance d'être dérangé durant la nuit. Un feu éloigne les loups et il n'y a pas grand monde à voyager la nuit. Par contre en zone hostile ou inconnue, on ne sais pas qui ou quoi peut tomber sur un groupe endormi.

[Outsider]

@Anthe :
Depuis quand des pommes de pins sur un piquet métallique protège de la foudre ? Mais j'ai peut être mal compris.